Cours d’énergétique STE-002 du 7 avril 2014
- associationtaiyang
- 7 avr. 2014
- 13 min de lecture
Le thème d'aujourd'hui va prendre à contre-pied une grande partie des certitudes qui sont souvent les nôtres.
Les scientifiques nous apportent des éléments qui permettent de prouver ou d'infirmer un savoir. Cela ne fonctionne pas pour toutes les situations mais parfois c'est très intéressant. Contrairement à Tout ce qui peut nous apparaitre, le don de soi aux autres, au monde en général est profondément ancré dans la nature humaine. L'apparition de nos premiers ancêtres mammifères date d’environ 200 millions d'années. Dès cette période, leur aptitude à nouer des liens, à ressentir des émotions, à pouvoir se montrer généreux les uns envers les autres a provoqué une avancée extraordinaire au niveau de l'évolution. Extraordinaire dans le sens de "peu ordinaire" car ils ont pu développer tout ce que nous avons comme sentiments envers les autres telle que l'empathie ou la compassion. C'est le fruit d'une évolution extraordinaire, peu commune. Contrairement aux reptiles et aux poissons, les mammifères, les oiseaux vont prendre soin de leur progéniture pendant une durée plus ou moins longue. Ils vont constituer des groupes sociaux parfois complexes basés sur la coopération, se mettre en couple …
Si notre cerveau a une masse corporelle plus importante, s'il s'est développé, s'il a autant grossi, c'est uniquement à cause de cela. Nous avons eu besoin de plus d'espace dans le cerveau parce qu'il nous fallait installer à l'intérieur toutes les parties concernant la relation les uns avec les autres. Sans cela nous n'aurions besoin que de notre cerveau reptilien et rien de plus. Le crocodile n'a pas besoin de plus que cette partie pour se nourrir, se défendre, se protéger, et se reposer quand c'est nécessaire. Or, nous, nous avons besoin de beaucoup d'autres éléments pour pouvoir vivre. Ces éléments il leur faut une place, par conséquent le cerveau s'est développé.
Les primates, il y a environ 60 millions d'années, ont vu leur cerveau grossir en rapport à leurs aptitudes sociales. Plus on s'est mis en groupe, plus on s'est rassemblé, plus on a essayé de vivre les uns avec les autres et plus notre cerveau s'est développé. Ce sont les scientifiques qui nous donnent ces éléments et qui voient bien l'évolution au niveau de la boite crânienne et du développement du cerveau. Les espèces les plus sociables, celles qui ont un mode de communication plus développé, incluant les rituels, les hiérarchies, les concepts ont le cortex le plus gros. C'est toujours en fonction de la masse corporelle. Si on prend le cerveau de très gros animaux (on sait maintenant que le cerveau d'un dinosaure était minuscule comparé à sa masse corporelle), ils n'avaient pas besoin de beaucoup d'informations pour pouvoir survivre. Ils ne stockaient pratiquement rien si ce n'est la partie «cerveau reptilien » qui était la plus petite.
Il y a 2 millions et demi d'années, les hominidés se sont mis à fabriquer des outils et ont développé un tas de choses : le langage, l'empathie, l'attachement à la famille, aux amis, les histoires d'amour, l'altruisme, la planification, la coopération les uns avec les autres. Pendant toute cette période notre cerveau a triplé de volume. Tous ces éléments ont développé, ont poussé notre cerveau, mais il n'a pas eu assez de place. Il était bloqué dans la boite crânienne. Donc le cerveau s'est tassé et c'est pourquoi nous avons toutes ces circonvolutions. C'est la raison pour laquelle le cerveau a cette forme.
Le phénomène s'est accompagné aussi d'un allongement de l'enfance. Chez les espèces animales y compris les mammifères développés, le temps de l'enfance n'est pas aussi long que chez nous. Il est même anormalement long pour nous : s'occuper de ses enfants pendant 14/15 ans et essayer toujours et encore de les éduquer. Les animaux lâchent plus tôt, même ceux qui les gardent longtemps ne vont pas jusque-là. C'était aussi une nécessité pour que toutes ces parties du cerveau puissent se développer petit à petit. On a besoin de temps pour que tout se mette en place donc l'allongement de l'enfance est devenu une forme obligatoire pour que nous puissions aller jusqu'au bout de ce processus. Dans le même temps, les liens affectifs entre les mères et les enfants ont évolué. On a aussi développé des choses qui étaient inconnues chez les premiers mammifères, comme l'amour romantique. C'est spécifique aux humains. Les animaux ne le sont pas. On peut créer autour d'une relation amoureuse des tas de choses qui vont être la création de notre esprit.
Dans les relations, l'attention paternelle s'est développée et a changé. A l'origine, l'homme n'était pas du tout lié à l'enfant. Il était là pour aller chasser, pour défendre, pour se battre. Cette relation s'est modifiée petit à petit. La relation du groupe par rapport à la mère et à l'enfant s'est complètement transformée avec les siècles parce que l'enfant avait besoin de la mère et pour une durée longue. Le groupe s'est construit autour de cela pour les protéger. On voit très tôt dans l'évolution des humains qu'il y a eu une véritable générosité, une coopération collective pour permettre à une mère de pouvoir élever son enfant dans les meilleures conditions. Ces éléments ont créé des liens d'interdépendance. Les hommes se sont regroupés pour profiter de ces liens donnant/donnant.Imaginez que vous viviez seul, vous auriez beaucoup plus de difficulté à survivre, sans aide. Chaque jour, il serait amusant de calculer combien de personnes ont dû intervenir pour que nous menions à bien notre journée : si on considère les vêtements, ce qu'on a dans notre maison, la nourriture... pour nous faciliter la vie. C'est bien un modèle coopératif qui est spontané aujourd'hui et on finit par perdre cette conscience, par l'oublier. Le fait d'avoir un cerveau qui s'est développé a donné sur le plan social quelque chose de très fort. Ceci a laissé des marques dans le génome humain. D'ailleurs ce sont les hominidés qui se sont le plus reproduits, les autres, les peuples qui ont continu é à vivre seul, sans coopération ont disparu. Il n'est resté chez les humains que ceux qui avaient coopéré les uns avec les autres. Dans le génome humain ce sont eux qui ont gagné et les autres ne sont plus là.C'est cette pratique de l'interdépendance qui nous a fait avancer.
Le mot "DONNER" au sens le plus large, a à la fois permis et guidé l'évolution de notre cerveau sur des millions d'années. Le maitre mot de l'évolution de notre cerveau c'est DONNER. C'est ce qui fait qu'aujourd'hui nous sommes ce que nous sommes. Or dans l'histoire on a tendance à ne mettre en avant que le négatif, les guerres, les conflits, les difficultés... Cette notion de partage a été mise en arrière, à tel point qu'on finit même par l'oublier.
Il y a cette expression qui dit "comme les poissons nous n'avons pas conscience d'être mouillé". On ne sait plus que l'histoire de l'humanité vient d'une grande volonté de donner les uns aux autres, de partager les uns avec les autres afin de pouvoir tous vivre ensemble. On l'a complètement occulté dans notre société d'aujourd'hui. Pourtant c'est notre histoire et structurellement notre cerveau n'a pris cette forme de développement qu'en fonction de cela. C'est une notion importante à intégrer à nouveau, en nous, pour arrêter de regarder tous les gens qui nous entourent comme des ennemis. On a vu aussi que le penchant négatif de notre cerveau a tendance à sur évaluer les moments de non-générosité, les ressentiments, l'égoïsme, et les refus. La rudesse de certaines personnes devient plus importante que le don et les échanges positifs que l'on pourrait recevoir. C'est à nous de l'équilibrer, de ne pas oublier qu'il n'y a pas que la vision négative de la vie. Notre cerveau a gardé cette partie reptilienne qui va nous permettre de nous protéger, mais de façon excessive, nous donner des informations mais de manière déformée.
Tout cela va nous envahir et c'est à nous de le rééquilibrer, de le ramener à sa place et pas ailleurs, de garder en nous quand même la notion que l'interdépendance et la relation des uns avec les autres sont des éléments capitaux dans notre évolution et dans notre quotidien.
Nous ne pouvons pas facilement considérer notre vie sans les autres, ils sont nécessaires à notre vie. Le fait de donner et de recevoir est considéré par les économistes comme étant une logique financière.C'est une manipulation parce que l'économie n'a rien à voir avec votre cœur. En fait nos sociétés ont besoin d'une base économique forte, à priori, pour continuer d'exister. Les économistes ne veulent pas que ce système s'écroule. C'est pour cela que récemment avec l'effondrement économique, on a vu apparaître les limites de ce système. On l'a regardé s'écrouler et dès que possible on a recréé la même chose. Pour en avoir parlé avec des économistes et des banquiers qui le confirment, on n’a absolument rien changé. On sait que ce système n'est pas viable sur la longue durée, on sait qu'il s'écroule, on sait qu'il met des millions de personnes dans des situations terribles, mais on reproduit la même chose. On recommence exactement pareil parce qu'une partie peut en profiter, et néglige totalement tous les autres. Donc on ne peut pas se baser sur ce genre de système si on veut fonctionner avec son cœur et son esprit. Ce n'est pas là-dessus qu'il faut s'appuyer. La relation "donner/recevoir" peut être une véritable relation liée à la générosité, liée à l'altruisme. En fait on se sent bien quand on fait du bien et parfois on incite des gens à agir de la même façon juste en observant des actes généreux . Cela va nous permettre de rajouter des éléments dans une sorte de grande tapisserie qui en définitive comporte beaucoup de générosité.
Finalement, l'histoire de l'humanité vous pouvez la présenter de deux façons, comme on le fait dans nos livres d'histoire, toutes les guerres depuis la première jusqu'à la dernière, les Gaulois contre les Romains, la guerre de 100 ans, Napoléon, les guerres mondiales, on nous présente l'histoire de l'humanité comme une succession de conflits, de haine. Or il se trouve que ce n'est pas la seule histoire. Il en existe aussi une autre qui fait que nous vivons aujourd'hui dans une société dans laquelle nous pouvons coopérer, collaborer, vivre ensemble, bénéficier de la protection que d'autres nous procure et que tout ceci est le fruit de beaucoup de générosité. Je ne cherche pas à dire que les guerres n'ont pas existé. Je ne cherche pas à dire qu'il n'y a pas de souffrance chez les êtres humains. Mais nous pourrions peut-être ne pas y rajouter des telles piles de souffrance, d'illusions qui finissent par développer des peurs qui nous rendent malades. Au contraire, libérez-vous, et ne vous laissez pas envahir par ce que votre cerveau essaye de vous imposer, ne focalisez pas votre regard sur les guerres, que sur les peurs et , sur la haine. En définitive nous avons en nous certainement plus de capacités de générosité que de haine. C'est à nous de les faire sortir, à nous de les mettre en avant.Alors comment faire, il faut surveiller et mettre en place un certain nombre de choses. La base est de prendre soin de vous. J'entends souvent cette expression quand les gens partent au travail: "bon courage" alors qu'on ne va qu'au boulot. A priori on ne part pas à la bataille de Valmy. Cela ne devrait pas trop mal se passer mais on dit quand même bon courage. Ce qui nous met dans une situation qui va être dure, il faut du courage quand c'est dur, on peut le présenter autrement. Les gens qui viennent me voir et qui sont malades, quand ils partent il faut que je trouve une formule. Si je leur dis bon courage ce n'est pas très positif. Cela veut dire bonne chance, que Dieu vous protège. J'ai plutôt tendance à leur dire :" prenez soin de vous". Commencez par vous-même, c'est important de le faire. On l'oublie souvent parce qu'on n'est pas bien, parce qu'on a de la souffrance, des difficultés... On oublie de prendre soin de soi et on se met dans des situations où ça va encore plus mal parce qu'on ne fait pas assez attention à soi-même. C'est difficile pour tout le monde. On transmet notre mal être et notre malaise alors qu'on pourrait transmettre le contraire. C'est tellement important. Si vous le faites, vous serez bien plus présent pour les autres. Ne faites pas de mal ni à vous-même, ni aux autres. Quelqu'un qui sombre dans l'alcool, ne fait pas du mal qu'à lui-même, c'est évident. Il fait parfois plus de mal aux autres qu'à lui-même. Celui qui est dans cette souffrance ne s'en rend pas compte, mais la souffrance se transmet autour de soi très rapidement.
Ensuite, n'oubliez pas de vous ressourcer en permanence, ne laissez pas les difficultés de la vie, les pensées négatives, les uns et les autres qui vont vous perturber dans une journée prendre toute la place. RESSOURCEZ VOUS RÉGULIÈREMENT. Revenez régulièrement à ces éléments que l'on essaye de partager ici afin que vous puissiez remettre un équilibre entre cette invasion qui est en train de vous arriver et que vous subissez, et la réalité; entre l'amygdale et l'hippocampe. Essayez de ne pas oublier de remettre cela en équilibre le plus souvent possible. C'est ainsi que l'on se ressource. Sinon avant lafin de la journée, vous serez en zone rouge au niveau de l'amygdale et rien ne pourra passer parce que l'hippocampe sera saturé. Par conséquent, vous êtes mal, et votre entourage n'est pas bien, et, c'est reparti pour un tour.
N'oubliez pas d'amorcer régulièrement la générosité, c'est surement ce qui nous enrichit le plus. DONNEZ et en fait vous serez riche. Ne donnez pas et vous serez pauvre, même si un banquier dirait le contraire. Je ne parle pas de comptes en banque, je parle d'être heureux. Ce n'est pas du tout la même chose, cela n'a même rien à voir. Inspirez-vous de tout ce qui peut être source de joie, de gratitude. Essayez de trouver des sources d'inspiration qui vous portent. Quand je parle de sœur Emmanuelle, c'est à priori une femme très simple, avec un discours simple, avec une énergie pas possible, avec des difficultés incroyables tout autour d'elle. Elle a quand même réussi à donner une joie, un enthousiasme, une énergie, une force, une foi considérable. Donc c'est accessible et nous avons tous cette capacité. Ce n'était pas une femme extraordinaire, pas comme on pourrait se représenter quelqu'un comme Jésus. C'est plus compliqué d'essayer de ressembler à Jésus, il était parfait. Comment faire. C'est peut-être trop inaccessible mais quelqu'un comme sœur Emmanuelle qui avait ses coups de gueule, qui envoyait péter tout le monde, qui râlait, ça c'est accessible. On sait faire. Mais tout cela, porté dans une direction noble avec une pureté extraordinaire, une simplicité formidable, une humilité sans faille, là on a de quoi être inspiré, être porté, notamment quand on part dans la mauvaise direction. Qu'est-ce qu'elle aurait fait ? Surement pas ainsi et on repart dans la bonne direction, on se recale.
La générosité peut prendre plein de formes.
Le don peut devenir très naturel : on peut donner de l'amour, du temps. Le contrôle de soi, on n'y pense pas souvent mais plutôt que de s'emporter et d'envoyer les phrases dans tous les sens, on essaye de les contrôler. C'est de la générosité parce que je ne veux pas faire de mal à l'autre.
On peut être généreux avec des services, de la nourriture, de l'argent... Dans le même temps lorsque vous donnez, ouvrez-vous à toutes les sensations positives que cela peut vous inspirer sans attente de retour. Donner sans attachement c'est le meilleur moyen de vous libérer de tous les poisons qui peuvent être liés aux attentes. Dès que vous mettez sur un don de l'attente, vous êtes prisonnier, enfermé. Vous allez souffrir parce qu'il est très rare que le retour soit exactement en corrélation avec vos attentes, c'est très difficile de l'obtenir. En conséquence quand il n'y a pas d'attente, on se libère. Vous donnez parce que vous avez envie de donner et c'est tout.
L'attention que vous pouvez accorder à tous les autres est importante. Ne pas oublier que même ce qui nous dérange chez un proche peut venir à nous manquer si cette personne disparaît. Il faut mettre ce genre de notion dans notre esprit, cela ne va pas venir tout seul. Je me débats avec des patients pour qu'ils puissent accorder un peu plus d'attention positive à leur entourage.
N'oubliez pas que parfois, ne pas réagir est le meilleur cadeau que vous puissiez faire aux gens qui sont avec vous. Le non agir ou le non réagir. On a souvent envie de répondre, de donner notre avis, de critiquer, de juger. Toutes ces choses qu'on peut faire très vite, sont souvent liées à nos propres émotions, à nos propres poisons, à nos propres incompréhensions, à notre ignorance mais on veut quand même intervenir. On fait des dégâts alors que ne pas réagir peut-être vraiment une preuve de grande générosité.
Rendez-vous utile chaque fois que vous le pouvez, cela permet de partager avec les autres. On peut le faire au travail, à la maison, avec des amis...en faisant des choses pour les autres, en pensant que si je fais pour les autres, je vais m'enrichir, je ne perds pas une partie de mon précieux temps.
Approfondissez votre pratique, c'est essentiel parce que la source est là. Le meilleur moyen pour aider les autres est d'améliorer votre propre bien être. Si vous arrivez à obtenir une forme d'apaisement, une forme de sagesse petit à petit vous allez donner des choses précieuses à tous les gens qui vous entourent. Donc ne négligez pas cette partie, c'est le cœur de tout le système. Quelle que soit votre pratique, mettez-y tout votre cœur comme s'il s'agissait d'une offrande quotidienne que vous allez faire à tout ce qui vous semble sacré, votre famille, vos amis, le monde, la vie, la nature.... Tout est sacré.
Chaque jour faites de votre journée une offrande. Cela ne va pas changer le monde de manière radicale, les infos seront toujours les mêmes, mais vous aurez changé de façon radicale votre propre vie et celle de ceux qui vous entourent. Même si cela ne passe pas à la télé, on s'en fout ; le plus important étant ce que vous vivez et faites partager dans votre quotidien. Il est plus facile et apaisant de se dire que «l'homme n'est pas fondamentalement mauvais». Il m'a fallu du temps pour le comprendre parce qu'il m'a longtemps semblé que c'était le contraire, que par nature l'homme était mauvais. Comme des êtres assiégés , il fallait tout faire pour défendre notre territoire, se reproduire, chasser, éliminer les ennemis, les concurrents... Beaucoup fonctionnent ainsi. Mais à l'échelle des millions d'années qui a constitué notre évolution, ce n'est pas la réalité. On se trompe en pensant ainsi.
En développant la peur, on crée sur le plan économique une société viable parce qu'on consomme quand on a peur. Le système est basé sur la consommation, c'est la société. Mais c'est à vous de décider ce que vous voulez intégrer dans votre vie, les éléments qui vont vous permettre de retrouver l'équilibre et de ramener les choses à une réalité plus positive.
Ce soir je n'ai rien inventé, ce sont les scientifiques qui ont travaillé pour nous. J'ai juste repris et réunis différents éléments. C'est passionnant d'ailleurs d'aller chercher les cohérences et les incohérences dans différentes religions ou différents modes de vie. Par exemple j'ai découvert d'autres approches éducatives notamment en Inde, qui amènent à une réflexion différente dans notre quotidien. Ce qui permet d'unir au lieu de séparer et de comprendre qu'on s'est opposé pendant des siècles uniquement par ignorance. Quand on sort de cette ignorance, on ne voit plus les différences entre les êtres humain, mais on voit d'abord les points communs. Quand on enlève cette illusion qui veut nous faire croire que tous les hommes sont différents et ennemis, qu'il y a différentes races, et religions qui devraient nous éloigner les uns des autres, alors seulement on peut espérer vivre en paix avec soi-même et avec notre environnement.
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